Comme un dimanche...

J'avais pas, mais alors pas envie de me lever ce matin, ni même de me réveiller, je préferais rester dans mes rêves semi conscients, ces rêves qui... une fois vraiment éveillée s'évanouissent dans une sorte de désespoir.

J'étais mieux tranquille, dans mes draps. A penser à toi, les yeux fermés, le sourire aux lèvres. Avoir l'impression futile de sentir ton parfum... Etre tout simplement proche de toi sans l'être vraiment.

Il y a de ces matins, si on peux encore ça appeller matins où l'ont a envie de ne rien faire de la journée, où l'on à l'envie de rester tranquille. Où la réalite nous retrouve, par un réveil, "il est déjà 13h30, il serait temps de te lever". "Oui, oui, j'arrive". Alors se lever, lentement... retour à la réalité.

Ce n'est pas toi que je vois au réveil, ce n'est pas avec toi que je parle, c'est avec mon cher papa.

La journée se passe, lentement, les heures ne défilent pas, ... , partir, me rapprocher de toi quelques heures, tout en sachant très bien que ce soir, je ne partirais pas pour te voir toi.

Je veux ..., je voudrais..., j'aimerais..., que ces moments où l'on ne dors plus et où l'on est pas encore réveillés, ces moments où je crois doucetement que je suis avec toi soient réels.

Comments

[Azkan]

"J'avais pas, mais alors pas envie de me lever ce matin, ni même de me réveiller" (Comme toujours quoi... ^^)

"Ce n'est pas toi que je vois au réveil, ce n'est pas avec toi que je parle, c'est avec mon cher papa." (Pauvre pôpa quand même! Tu devrais être contente de pouvoir lui parler toi...)

"La journée se passe, lentement, les heures ne défilent pas" (Pourtant, les heures ont toujours la même durée...)